Les belles cartes de juin, juillet et août 2024

 

 Beaucoup d'animaux à l'honneur pendant ces trois mois. Cela commence par une PHQ du Royaume-Uni montrant une martre, j'adore les mustélidés.

 

Il y a eu aussi cette très jolie carte venant d'une enfant, avec un agneau et la brebis, puis, le même jour, le renard en culottes courtes que j'ai pris plaisir à placer à côté (parfois, les cartes se parlent entre elles).

Le festival a continué avec un grand-duc, un escargot qu'on retrouve en Europe, l'ambrette commune, un panda roux venu des USA après une fausse direction en Jamaîque (missent to Jamaica) et une tortue venue des rives de la Baltique.

 

Petit intermède avec des timbres de tout un tas de coins du monde, sur des sujets très variés, j'ai bien aimé le timbre polonais à la gloire de l'ail (à quand un timbre ici sur l'ail de Lautrec ou le chou romanesco ?). Les timbres anglais montrent une épée et une fibule (broche en métal, pour attacher les vêtements) sans doute très anciennes, mis à jour dans le pays. D'Asie (Chine, Singapour), beaucoup de poissons. Les timbres canadiens ont été reçus il y a déjà un moment. Je ne sais rien du timbre allemand ni de ce qu'il représente.

 

 

 

 

Pour en revenir aux cartes postales, une carte de Chine aux chouettes couleurs et une carte vintage représentant Seattle, et cette très belle carte russe parvenue en août, presque la seule d'ailleurs, avec des oiseaux dont beaucoup nous sont aussi familiers. On se demande comment ils survivent dans l'hiver russe, je me souviens de Sylvain Tesson qui racontait nourrir les mésanges qui frappaient aux fenêtres de sa hutte près du lac Baïkal (Dans les forêts de Sibérie), il faisait -50°C ou dans ce genre...

La carte Lou Paper montre des pains d'un peu partout et notre belle et bonne fougasse qui m'a mis la nostalgie.

Pour rester dans un registre culinaire, cette carte d'Australie reçue sur un autre compte, j'ai été étonnée de ne pas voir la Marmite, mais c'est une série de cartes et elle figure ailleurs.

Voilà, encore une belle fournée dans ma hotte. j'ai même commencé à faire un petit album, et je suis remontée sur plusieurs années en arrière, j'avais oublié beaucoup de choses reçues et ça a été très agréable d'y revenir.

De même, montrer les timbres me fait y accorder plus d'importance et d'intérêt, que de sujets, de variété, parfois de beaux timbres rattrapent aussi une carte malheureuse. Parfois encore, c'est un festival, les trois en technicolor, carte, timbres, écrits, et on touche le ciel.